Si comme moi, t'as tapé "Tool live" sur Youtube pour essayer de voir ce que ça donne en live et que t'as trouvé trois boots vidéos dégueulasses et d'autres vidéos ou MJK fait (très) peur, alors faut écouter Salival, parce que dedans y'a du bon live de derrière les fagots. Salival, c'est : plus d'une heure de Tool alors qu'il n'y a que 8 pistes (normal) ; 5 titres live (tu te demandes si c'est... Lire la critique de Salival (Live)
C'est le premier album, tu sens les mecs un peu timorés, y'a pas une chanson de plus de huit minutes (scandaleux pour Tool), mais déjà tout y est : la batterie et la guitare millimétrées et le chant impressionnant. C'est moins "concept" que les albums suivants, cependant. Mais on s'en fout, fais tourner, c'est d'la bonne (Prison sex, Bottom, Undertow). Lire l'avis à propos de Undertow
Hush, 2:48 de bonheur et d'insultes. Cold & ugly, 4:09 de bonheur et de cris ("frighteneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeed!"). Opiate, 5:20 de bonheur et de Karl Marx. Raison bonus : Danny Carey (batterie) et Maynard James Keenan (chant) sont au sommet. Lire l'avis à propos de Opiate (EP)
Comme pour Ænima, l'album s'ouvre sur une petite bombe, à savoir The Grudge. Ensuite, c'est l'habituelle alternance de longs morceaux impeccablement construits et travaillés et de petites séquences "ambiance". Histoire de poser l'atmosphère Tool, quoi. Ou de reprendre son souffle, comme entre The Patient et Schism avec Mantra. Par contre, faut pas déconner, pas de pause pour l'enchaînement... Lire la critique de Lateralus
Quand un album commence par Stinkfist et Eulogy et se termine par Third eye, on se tait, on écoute, on savoure on respecte et on met une bonne note. Ænima est radical, brut, peut-être globalement le plus bruyant et le moins subtil des albums de Tool. Mais néanmoins, cet album est excellent. Eulogy et les paroles de Stinkfist valent au moins 5 des 8 points que j'accorde à l'album, en fait.... Lire l'avis à propos de Ænima
Le pitch avait tout pour plaire et faire rentrer The Ides of March au pathéon des thrillers politiques : manipulations entre Ryan Gosling, Paul Giamatti, P. S. Hoffman et George Clooney, ça semblait parfait. Après une bonne première demi-heure où tout se met en place, déjà arrive le moment clé du film, l'élément déclencheur, le pavé dans la mare, le problème principal. Gosling rencontre... Lire la critique de Les Marches du pouvoir
Bon film à voir le dimanche soir d'hiver déprimant pour trois raisons qui se suffisent à elles-mêmes : - Ryan Gosling, craquant, beau gosse (non-photoshoppé) - Steve Carrell, attendrissant, drôle - le moment de Dirty Dancing. Lire l'avis à propos de Crazy, Stupid, Love
30% de rousseur, 5% de Sean Penn, 50% de nature, 1% de dinosaures, 3% d'espace intersidéral, 5% d'eau, 2% de verre cassé, 1% de larmes, 3% de WTF. 100% Terrence, 0% Malick. Je suis dubitative. Lire la critique de The Tree of Life
Those guys, c'est Robert Redford et Paul Newman. Deux légendes. Deux éternels beaux gosses au service d'un bon western comme on en fait peu. On ne va pas se mentir, le film repose sur eux deux. Butch et le Kid, c'est un duo de choc : Butch est le beau parleur, la tête pensante, et le Kid, le muscle, le silencieux. Je ne sais pas si ces deux là étaient effectivement comme ça en vrai (puisque le... Lire l'avis à propos de Butch Cassidy et le Kid
Mars Attacks, c'est juste une grosse poilade. Quiconque recherche plus doit passer son chemin. Si on a un humour suffisamment pourri à la base comme moi, le film est joussif. Chaque personnage est une montagne de bêtise caricaturale de l'Amérique (Black, soldat écervelé ; Bening, hippie illuminée ; Portman et Haas, les ados un peu lents ; Parker, la starlette coconne...). Ca permet des... Lire l'avis à propos de Mars Attacks!