
Le roman est un court récit d’autofiction. L’autrice part de la vente de la maison - qu’elle avait acquise 20 ans auparavant avec son compagnon, tout juste avant qu’il meure dans un accident de moto - comme pour clore un chapitre de sa vie, qu’on sent sans cesse ressassé, passé au peigne fin, regardé sous toutes les coutures dans l’espoir peut-être d’y mettre du sens. Le livre est... Lire la critique de Vivre vite