1986 : Dreamtime (Epic-CBS). Disque inégal, au son sophistique, loin de l’orgie sonore des debut. A écouter d’urgence la suite « too precious » d’une étourdissante complexité, un de leur meilleur morceaux. Lire la critique de Dreamtime
1984 : Aural Sculpture (Epic-CBS). Encore une rupture avec l’introduction d’une section de cuivre et d’un son plus « pop». Emerge la magnifique « north wind », au lyrisme puissant et « souls ». Lire l'avis à propos de Aural Sculpture
1981 : La Folie (Liberty Records-EMI). Magnifique ! le son est plus léché, les chansons dominées par les claviers de greenfield. Les compositions se complexifient, deviennent plus mélodiques. Tout est d’un très haut niveau et il n’y a pas un morceau faible. Allez, je mets tout de même en avant « how to find true love and happiness », tout en ironie et rupture. Lire l'avis à propos de La Folie
1979 : The Raven (United Artists). L’influence nordique encore, avec un hommage, dans la chanson titre, au guide et compagnon de voyage des Vikings, le corbeau. Le son s’est allégé, les arrangements complexes, ça joue plus souple mais c’est toujours puissant et efficace. « baroque bordello » est évidement baroque à souhait et « don’t bring harry » une magnifique ballade sur la drogue. Lire l'avis à propos de The Raven
1978 : Black and White (United Artists). L’atmosphère est nordique, la musique peut être plus puissante encore, l’ensemble d’une grande cohérence. Précipitez-vous sur « nice ’n’ sleazy », « walk on by » et « toiler on the sea » d’un sombre lyrisme, faisant référence a la légende du flying dutchman. Lire la critique de Black and White
1977 : No More Heroes (United Artists). Le matériel provient des mêmes sessions que rattus norvegicus mais est moins cohérent. Il est cependant dominé par la formidable et dévastatrice chanson titre, puissant rejet de la starification. Lire la critique de No More Heroes
“Someday i want to smack your face” ! Tel sont les premières paroles de la première chanson du premier disque des stranglers. Au moins on est prévenus, et la suite seras a la hauteur de ce manifeste. Les stranglers sont uniques dans l’explosion rock de 1977, car en fait ils n’ont rien a voir avec le punk, bien que se produisant sur les mêmes scènes. Déjà les membres du groupe savent jouer, un... Lire la critique de Rattus Norvegicus
1983 : Feline (Epic-CBS). Si la folie est magnifique, féline est extraordinaire. Le groupe est tombe sur un luthier dont ils adorent les instruments acoustiques. Ils vont donc réaliser leur album en les électrifiant. Disque d’une grande cohérence, souple, animal, envoutant, stupéfiant de beauté sonore, ou aucun morceau n’est seulement que moyen. Assurément leur meilleur opus d’où émerge « the... Lire l'avis à propos de Feline
Willy est malade. Cancer. il se déplace très difficilement. Les concerts se déroulent assis, entre son pianiste et son contrebassiste. Toujours des roses…Le look est hors du temps, les cheveux très longs, la voix a pris une dimension crépusculaire, résumé de toute une vie, a l’instar de celle de johnny cash sur sa fin. Live in Berlin (2003). Monumental. Nécessaire a tout amateur de... Lire l'avis à propos de Unplugged in Berlin (Live)
Willy s’exile a la Nouvelle Orléans, arbore un look a la autant en emporte le vent, lavallière, chemises a jabot et dentelles, redingote, banane monumentale. Miracle (1987). Une forme de renaissance. Produit par mark knopfler, de dire strait. Emerge de cet ensemble inégal la chanson titre, très soul et l’époustouflante « nightfalls » qui se hisse presque au niveau de « heaven stood still ».... Lire la critique de Miracle